• Le lundi 16 mars, les enquêteurs non vraiment aucun indice depuis trois jours qu’ils sont sur l’enquête. Ils sont convier a une réunion auprès du procureur de la république Maître Ory  de Toulouse  l’après midi. Celui-ci a fait préparer une salle à cet effet au rez-de-chaussée du tribunal d’instance.

    Quelques minutes avant l’heure, le greffe du tribunal vient dans la pièce et prend place pour recevoir tout le monde. Les trois enquêteurs arrivent ensemble, entrent, et prennent une chaise pour s’asseoir autour de la table. A quatorze heures précises le juge d’instruction Barder accompagné par le procureur Ory ouvrent la porte, entrent, a leurs tours s’installent.

    C’est Maître Ory qui prend la parole pour s’informer de l’avancement de cette affaire qui devient très médiatisé. L’adjudant Médart qui dirige l’enquête, sort ses dossiers, les donnes à son interlocuteur en disant simplement : (nous n’avons rien sur les deux cas d’agression. Aucun indice sauf quelques traces de pas qui les conduises nul par).  

    La discussion va durée une bonne demi-heure, mais il n’en ressort aucun éléments qui peu faire progressé les recherches. Il est décider de lancé un appel a témoin qui éventuellement, apporterai de nouveaux indices. Pour clôturer cette réunion Maître Ory prend des nouvelles, des victimes qui ont survécues à l’agression.

    Le commandant Punch, explique que le père est encore à l’hôpital dans un coma profond, que la fillette est rester chez les voisins de la famille, suite au conseils de l’assistante sociale qui est passer voir la petite au matin. Un suivit médical et psychiatrique sont prévus pour Anna.

    La réunion terminer, tous repartent à leur occupation, sauf isabelle qui accompagne le procureur dans son bureau. Il est convenu qu’elle serait auprès de celui-ci pour le communiqué du soir.

    Vers vingt heure isabelle et le procureur sont dans les locaux de la chaîne, ou ils doivent lancé l’appel a témoin. Comme il a été convenu l’après midi. Rapidement l’appel est lancé et tous deux sont assaillit de question, mais ils ne répondent pas et sortent du plateau de télévision.

    Isabelle prend congé auprès du procureur et rejoint la petite ville de Louvet, et son hôtel pour se prendre un peu de repos.

    Le lendemain Isabelle très toucher par la petite Anna, bouleverser par la cruelle agression qu’on subit ses parents décide de prendre le temps de lui rendre visite chez les Rodrigue.  Elle prévient ces collègues qu’elle sera en retard sans donner plus d’explications et va à sa voiture.

    Quelques minutes lui suffisent pour arriver, rue plomb devant la petite maison de Maria. Elle descend de son véhicule, va à la porte, frappe, c’est Maria qui vient ouvrir. Isabelle prend un moment pour expliquer qu’elle aimerait venir de temps en temps rendre visite à la fillette.


    1 commentaire
  • Maria très compréhensible, lui dit ouvertement que cela ne pose aucun soucis vu qu’elle ne travail pas, elle est disponible. Isabelle satisfaite de la réponse de son interlocutrice lui demande de rester discrète sur ces visites. Maria la fait entré dans le salon et lui propose un café. Anna est a coté de la porte fenêtre du salon, elle joue avec une poupée que sa nounou provisoire lui a, acheté. Isabelle se rapproche de la petite, lentement et calmement elle approche sa main de son visage. Elle lui prodigue une légère caresse sur la joue, aussitôt la fillette tourne la tête, et isabelle peu voir pour la première fois depuis l’agression un sourire illuminer son visage avec un éclair qui passe dans ses yeux. Isabelle est rempli de joie, d’avoir pu établir en quelque sorte une forme de confiance, entre elle deux. Maria qui est a l’entré du salon avec le café  peu voir ce moment de complicité. Une larme lui coule sur la joue, par l’émotion, de voir enfin un sourire aux lèvres de la fillette. Isabelle qui a entendu la maîtresse de maison derrière elle embrasse avec une grande tendresse Anna, elle retourne au canapé boire son café. Soudainement elle s’excuse auprès de Maria, en regardant sa montre elle s’aperçoit qu’il est onze heure trente, sort de la maison, monte dans sa voiture et rejoint la gendarmerie de Louvet.

    Quand isabelle rentre dans les locaux, tous le monde est en ébullition, occupé a répondre au téléphone qui n’arrête pas de sonner depuis le début de matinée. 

    C’est le résultat de l’appel a témoin lancé la veille a la télévision. Isabelle se rend directement au bureau de Didier (l’adjudant Médart), pour ce renseigné, si, les appels reçus apportent de nouveaux indices.

    Celui-ci, lui dit que non, pour le moment les personnes qui ont appelés raconte un peu n’importe quoi mais leurs dire son vérifier quand même. Isabelle acquiesce, mais au fond d’elle-même espère qu’un petit indice va ressortir de tous ces appels. Comme il midi Didier propose de faire un restaurant, elle accepte mais lui demande cinq minute. Elle rejoint ses collaborateurs à la salle de réunion, pour avoir un compte rendu des recherches, celle-ci reste infructueuse.

    Isabelle les remercient, les informes comment ils peuvent la joindre puis elle retrouve Didier pour aller déjeuner.  

    Pendant le repas ils décompressent un peu de la pression, qu’ils ont par cette affaire de meurtre et surtout la médiatisation autour de celle-ci, la pression qu’ils subissent par le bureau du procureur. 


    1 commentaire
  • Pendant tous ces jours, le meurtrier de Nora, suis de très prêt l’information donner par les média, dans sa petite chambre d’hôtel. Mais surtout il passe toutes ses journées sur le net sous le pseudo de voyou, sur un jeu qui est une intrigue policière. Il faut rechercher le ou les coupables de meurtres en série. Voyou est en relation étroite avec une autre internaute qui a le pseudo de mirabelle. Ils vivent une idylle amoureuse depuis qu’ils ont commencés ce jeu il y a plus d’un an. Dès les premiers contacts, une complicité c’est installé entre les deux joueurs, qui sont les deux détenteurs des meilleurs scores du jeu. Souvent voyou relis les premiers messages privés qu’il a eu avec mirabelle.

    Mirabelle :

    Coucou mon bel amant virtuel, comment va tu ??? Tu a vu je suis passé devant toi. Je viens de découvrir le premier meurtre donc croix-tu que je suis capable de tuer une personne dans ma région. Si je le fais tu devra le faire a ton tour, et comme sur le jeu. Nous allons mettre en pratique, et voir si les flics sont si doués.

    Réponse Voyou :

    Ma belle vénus, Ok alors je te met au défit de le faire dans les huit jours qui arrive. Mais il va falloir que tu le face avec un couteau de chasse pour que tu sois obliger d’approcher ta victime. Mais attention aucun indice ne doit apparaître dans les premières enquetes n’oublie pas. Et pour allez plus loin il va falloir que l’on se rapproche l’un de l’autre après chaque victime. Je t’aime, Voyou.

    Trois jours après ces messages échangés, les médias de la région du Pas-de-Calais annoncent le meurtre horrible d’une jeune femme à Roubaix. Voyou était convaincu qu’elle n’aurai pas eu le cran de le faire, mais au fond de lui espérerai qu’elle le face. Quand, il a vu l’information il va directement sur la messagerie de son ordinateur.

    Voyou :

    Coucou ma belle vénus, je te félicite de ce que tu viens de faire, tu ma prouvez que tu est capable de beaucoup de choses. Alors c’est bien parti le prochain se sera moi et tu devras attendre un an comme dans infernal meurtrière (le jeu virtuel).

    Mais cela ne nous empêche pas d’avancer, et de savoir qui va gagner. Je t’aime Voyou.

    Mirabelle :

    Oui mon amour, il va falloir que je sois patiente. Grrrrrrrrrrrrrr ; mais pour toi je le serai. Je t’aime Mirabelle.


    votre commentaire
  • En boucle, il relit ces messages, depuis qu’il a commit se crime horrible et brisé la vie d’une famille. Loin de culpabiliser il a le sourire aux lèvres en lisant, les derniers messages échangés Voyou :

    Ma belle vénus, tu regarde les informations depuis quelques jours ils parlent, de nos exploits en plus ils font des appels a témoin a la télévision c’est qu’ils non rien du tout sur ce que l’on a fait. Tu te rend compte il faut que l’on poursuive notre jeu. Je t’aime ton voyou.

    Réponse de Mirabelle :

    Oui c’est a nous de jouer et de mener le jeu. Mon amour on va bientôt se voir !!

     

    Il se met à rire devant ce qu’il lit. Les yeux étincelants, satisfaits, content de cette relation qui l’existe. Il fantasme sur le jour ou il va voir sa Mirabelle. Sur ça couleur de cheveux, de ses yeux sur les formes de son corps. Est-elle grande ou petite, grosse ou maigre ou alors une taille normal. Toutes sortent de questions, vu qu’ils ne se sont jamais vus et qu’ils ne se verront que si ils réussissent à ne pas se faire prendre par les forces de l’ordre cela fait parti aussi du défit qu’ils se sont imposés. Pourtant ils sont amoureux l’un de l’autre sans se connaître vraiment, cela fait parti de leurs jeux.


    votre commentaire
  • Après avoir passé un bon moment au restaurant, Isabelle et Didier retourne à la gendarmerie, ou le téléphone sonne toujours autant mais, aucun résultat. C’est l’impasse pour les enquêteurs qui commence a perdre espoir, ils n’accepte pas le fait de, devoir mettre ce dossier dans les affaires non résolu et attendre un nouveau meurtre en espérant que le ou les meurtriers face une erreur.

    Sylvain est toujours dans le coma et les médecins qui s’occupent de lui désespèrent de pouvoir le sauver. Entre temps la famille de Nora est arrivée en France, Bernard et Angèle ses parents sont passés à la morgue pour reconnaître le corps de leurs filles. Ils attendent que les autorités leurs donne autorisation de disposé du corps. Ils vont tous les jours a l’hôpital voir leur gendre qui na pas de famille, ainsi que rendre visite a la petite Anna. Malgré qu’ils soient les grands parents d’Anna la fillette reste muette en leurs présences et demeure chez les Rodrigue. Ceci jusqu'à ce que le papa sorte du coma ou décède, le couple a pris une chambre à l’hôtel de la petite ville de Louvet. Bernard est un homme de grande taille des épaules larges, les cheveux grisonnant et cour, les yeux verts, une grosse voie grave. C’est aussi un ancien militaire de carrière qui a connu sa femme à la Réunion lors de ses voyages sur cette île. Angèle est une femme de couleur, petite de taille qui arrive à l’épaule de son mari, un visage fin, les yeux noisette, cheveux blanc. Se qui surprend les enquêteurs c’est le grand calme, la retenue d’émotion de cette femme devant la souffrance. Ils ont un grand respect pour ce couple digne dans la douleur.

     

    Trois jours passe les appels téléphoniques diminuent, et reste infructueux, l’équipe enquêtrice est épuisée. La seule personne qui pourrait éventuellement faire avancé l’enquête est allongé sur un lit d’hôpital dans le coma. Isabelle tourne en rond dans la salle de réunion comme un lion en cage. Elle enrage de ne pouvoir réellement avancer sur ces agressions.  

     

    Bernard et Angèle vont à l’hôpital comme tous les matins rendre visite a leur gendre. Au moment où ils vont ouvrir la porte d’entrée de la chambre, une infirmière les arrête, elle les prie de la suivre. Les conduits dans une petite salle au bout du long couloir de service de réanimation. Les faits entrés et leurs demandes de bien vouloir attendre un moment.

    Après quelques minutes d’attente, un médecin entre dans la pièce, se présente docteur Simon, puis prend place derrière le bureau.


    votre commentaire
  • Il commence par expliquer que son patient est sorti du coma, mais que les coups qui lui ont été porter a la tête, l’on rendu amnésique, il ne c’est combien de temps cela peu durée.

    Il les informe aussi qu’il va falloir que monsieur Morel reste encore plusieurs semaines à l’hôpital pour les soins. Soudain le téléphone sonne se qui surprend le docteur Simon. Il décroche, c’est l’infirmière chef qui prévient que des gendarmes sont à l’accueil, pour prendre des nouvelles de monsieur Morel. Il demande a celle-ci de les accompagnés jusqu'à la salle ou ils se trouvent.

    Le couple ému par la nouvelle qu’ils viennent d’apprendre, les laissent pensif. Immédiatement ils réalisent qu’ils vont devoir rester plus longtemps que prévu en métropole et surtout voir pour Anna avec les services sociaux. Le médecin raccroche, reste silencieux, puis il attire leurs attentions sur le fait que deux gendarmes arrivent, pour s’enquérir de l’état de Sylvain, donc, il va devoir attendre avant de leurs permettrent de rendre visite à leur beau-fils. Quelques secondes suffisent et ils entendent frapper à la porte, le docteur Simon se lève, va ouvrir, isabelle et Didier entre, il retourne derrière le bureau. C’est alors qu’il recommence ses explications, cela ne prend que peu de temps. Angèle prend la parole pour savoir si ils peuvent quand même allez voir Sylvain.

    C’est isabelle qui répond à cette question avant que le médecin le face :

    Nous somme désoler mais il va falloir que vous attendiez que nous l’ayons vu avant si nous avons l’autorisation de son médecin bien entendu.

    Celui-ci donne son accord, avec une restriction ne pas fatigué le patient et sortir si il le demande. Isabelle dit au couple qu’ils pourront lui rendre visite aussitôt qu’ils seront sortis, que cela ne prendra que quelques instants et s’excuse encore une fois. Isabelle et Didier remercie le médecin le salut et se retire suivit de Bernard et Angèle, et vont tous a la chambre.

    Isabelle frappe à la porte, puis entre dans celle-ci. Elle se présente ainsi que son collègue et s’excuse de l’importuner, prennent de ces nouvelles au niveau santé. Sylvain, affirme que ça va comme une personne qui a subit une agression. C’est le médecin qui lui a parlé de cela.

    Isabelle s’enquerre de savoir si il est d’accord pour répondre a quelques questions. Il lui répond par l’affirmatif, il souligne que la mémoire lui joue des tours.

    Isabelle, prend une grande respiration, avant de lui dire directement ;

    Monsieur vous avez subit une agression, votre femme est décéder suite à celle-ci et votre fille de dix ans est traumatisée. Elle est chez vos voisin pour le moment le temps que vous rentriez chez vous. 


    13 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique