• Histoire policière.....

    Chapitre 1

    Nora tiens par la main sa fille de huit ans, c’est une jolie fillette avec de beaux cheveux bruns, les yeux marron pleins de malice, le teins un peu mat du a ce qu’elle a, une maman métisse. Nora est une femme qui a la trentaine d’année les cheveux aussi brun que sa fille mais un peu plus long et ondulé, les yeux noisette, elle est d’origine des îles. D’un père blanc et d’une mère de couleur, originaire de l’île de la réunion.

    Toutes deux rentre à pied de la boulangerie qui se trouve au bout de la rue, avec dans les bras le pain pour le souper. Elle demeure à Louvet une petite ville de cinq mille habitants. Soudain Nora se retourne mais ne voit rien derrière elle, en cette soirée de mars ou la nuit tombe de bonne heure.

    Entendant du bruit encore une fois derrière, elle se retourne à nouveau.

    Mais la encore rien, personne ne la suis, aucune présence dans la rue.  Elle a une profonde impression d’être épiée observer par une présence. Doucement elle augmente l’allure de son pas, sans affolé ou faire courir sa petite Anna. Pour la troisième fois Nora se retourne, et cette fois au loin elle voit une silhouette. Elle ne peu rien distinguée vu la distance qui les sépares. Elle saisie Anna la prend dans les bras et se met a courir en expliquant a sa fillette que c’est un jeu, et se retourne régulièrement pour voir si la forme qu’elle a vu les suis toujours. Mais rien, a quelques mètres de la maison plus personne dans la rue. Et Anna rigole au éclat, elle la pose au sol devant la petite coure ou deux véhicules son garer. Elles entrent dans la maison et retrouve Sylvain le papa. Anna explique à son papa le nouveau jeu que viens de lui apprendre sa maman. Il éclate de rire et poursuit se qu’il est en train de faire, le repas du soir. Sylvain est rentré plus tôt du travail et a décider de faire le repas pour permettre a Nora de passer un peu de temps avec Anna. Sylvain est un homme imposant avec ces un mètre quatre vingt sept et quatre vingt dix kilos. Avec une carrure large, les cheveux court et châtain, les yeux vert. D’une grande attention et douceur envers sa femme et sa fille. Comme il fait la cuisine, Nora emmène Anna se mettre en tenu de nuit et joue un peu avec. La table mise Sylvain appel Nora et Anna qui arrivent rapidement pour ce mettre les pieds sous la table. Tous assis, Sylvain fait le service du souper. Le repas se passe dans la joie la bonne humeur, le sourire aux lèvres. A la fin du repas Nora va mettre au lit leur fille et revient donné un coup de main a son mari pour débarrasser la table et faire la vaisselle. Celle-ci terminer il vont tous les deux sur le canapé, allume la télé et sylvain bourre sa pipe pour fumer tranquillement devant le film du soir. Nora se rapproche et se blotti dans le creux de l’épaule de sylvain. Elle en profite pour lui expliquer l’impression, qu’elle a eue en revenant de la boulangerie. Son explication terminer elle sourit et lui dit : (J’ai sûrement rêver ou me suis fais des idées). Puis embrasse son homme.

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    Suite 1

    Dehors un individu est passé au dessus du mur au fond du jardin, approche de la maison, essai de voir l’intérieur sans se faire voir. La silhouette de cet individu laisse deviné qu’il est de taille moyenne, de carrure costaud. Il porte une grande veste de survêtement avec une capuche qui lui cache complètement le visage. La nuit est très sombre, malgré le nombre de fois qu’il est venu à cet endroit tout a coup il renverse un pot sur la terrasse, qui fait un grand bruit dans ce silence de la nuit. Surpris l’individu détale et repasse le mur du fond de jardin en un bon. Sylvain entend le bruit, se lève rapidement et va voir a la fenêtre voir se qui ce passe. Intrigué il prend une lampe torche qui se trouve dans un meuble dans l’entrée, et sort dans le jardin fait le tour du terrain et des cabanons. Devant le mur du fond de jardin, il constate des traces de pas, bien marquer sur le sol. Ont peu constater qu’un passage existe, mais aucune trace de chaussure, les traces laisse penser que celui qui est passé la est pieds nues. Ce mur donne sur une petite ruelle non éclairé pour aboutir dans un terrain vague. Sylvain revient vers la maison et regarde partout à la recherche d’autre trace. Il entre dans le salon et rassure Nora en lui disant que le bruit doit venir d’un chat errant qui est passé dans le jardin. Sylvain est quand même soucieux des pas qu’il a vus prêt du mur et du pot cassé sur la petite terrasse. Il ne laisse rien deviner à sa femme qui angoisse très rapidement. Il décide que le lendemain matin, il retournerai voir ces traces. Suite à cet interlude, et à la fatigue de la journée ils montent main dans la main à l’étage pour se mettre au lit. Maintenant qu’ils sont détendus ils prennent le temps de discuter un peu de leurs journées. Ils s’endorment enlacé. Comme c’est le dernier jour de la semaine, Sylvain se lève pour préparer le café pour la famille. Pendant que celui-ci passe, il met une veste chaude, et retourne dans le fond du jardin ou il a vu les pas la veille. Il constate que les pas sont bien marqués dans le sol et que c’est des pieds de taille moyenne. Il s’interroge sur le comment, ces empreintes son arrivés la. Sylvain retourne à la cuisine ou la cafetière n’est pas encore terminée. Alors il décide d’aller à la boulangerie qui est au bout de sa rue. Prend deux minutes pour discuter avec la serveuse, paye sa commande et reviens rapidement chez lui pour finir le petit déjeuner. Nora se lève à son tour et passe dans la chambre d’Anna et la réveille, avec une grande douceur. Une fois les yeux bien ouverts, la petite fille fait un gros bisou à sa maman et saute du lit. Met sa robe de chambre d’enfant, toutes deux sortent de la chambre et empreinte l’escalier pour descendre rejoindre le papa a la cuisine. C’est dans la bonne humeur qu’ils déjeunent en famille. Sylvain est le premier a partir il embrasse Nora qui va faire la toilette d’Anna et se préparer en même temps.

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    Suite 2

    Ceux-ci, fait, elle montent dans la voiture, Nora dépose sa fille a l’école puis rejoint son lieu de travail ou elle exerce en t’en que secrétaire. Vers seize heures trente, Nora passe reprendre Anna a l’école profite de la boulangerie qui ce trouve a coté de l’établissement et va prendre le pain pour le souper et un bonbon pour sa fillette. Arriver devant le portail de leur maison elle va ouvrir et rentre la voiture dans la petite cour et fait descendre Anna. Sylvain a averti sa femme pendant la journée qu’il rentrerait tard, vu qu’il doit terminer des plans pour le lendemain. Qu’elle ne l’attende pas pour le repas. Une fois rentré dans la maison elle s’occupe d’Anna et ensuite du souper pour elle deux et laisse sur la table le couvert et les plats pour Sylvain. Après avoir coucher la petite, Nora se met devant son ordinateur dans le salon pour surfer sur le net en buvant un thé. L’individu qui c’était fait remarqué la veille au soir, se trouve de nouveau dans le jardin et observe Nora qui est de dos. A chaque mouvement qu’elle fait l’individu se recule d’un pas pour ne pas se faire voir. Vingt heure viens de sonné a la pendule, Nora va allumer la télévision pour pouvoir écouter les informations, le temps qu’elle est sur son ordinateur. Une demi heure passe et une voiture se gare dans la cour, l’individu qui observe toujours l’entend et disparaît, mais cette fois très silencieusement. C’est Sylvain qui rentre enfin du travail, Nora pris par son jeu sur le net, na pas entendu la voiture et sursaute en entendant la porte s’ouvrir. Elle vient au devant de son mari, l’embrasse et lui demande comment c’est passer sa journée. Elle l’accompagne jusque dans la cuisine ou elle lui réchauffe les plats restant sur la table. Pendant que Sylvain déguste son repas, entre deux bouchées, il explique sa journée au bureau. L’individu qui est resté dans la ruelle derrière le mur du fond de jardin passe a nouveau le mur, se rapproche de nouveau des fenêtres pour voir ce qui se passe à l’intérieur. Mais comme le couple est dans la cuisine il ne peu rien voir. Malgré le froid de ce mois de mars, il retire un gant et prend un coupe verre dans sa poche, une petite ventouse et découpe une partie du verre qui ce trouve prêt de la clenche de la porte fenêtre. Faisant très attention de ne pas faire touché la manche sur les parties du verre. Il ouvre la porte très lentement, silencieusement et entre furtivement avant de refermer la porte derrière lui tous aussi doucement que pour entrer et surtout ne fait aucun bruit. L’individu se dirige vers la cuisine, ou il entend les voies du couple.

  • Il traverse le salon sans faire de bruit et atteint le petit couloir, qui distribue l’entrée, la montée d’escalier, plusieurs portes fermé et la cuisine. Il avance jusqu’a la porte de la cuisine où il entend leurs voies, avec dans la main gauche une matraque noire. Sylvain est assis dos à la porte de la cuisine et Nora est au bout de la pièce dos aussi et fait la vaisselle du soir en discutant avec son homme. Il avance a pas de velours, arriver juste derrière la chaise de Sylvain il lui assène un coup sur la nuque qui l’assomme immédiatement. Le coup porter il lui retient la tête pour qu’elle ne face pas de bruit en tombant sur la table. C’est alors que Nora se retourne vers Sylvain qui ne dit plus rien. Au même moment elle reçoit un coup violent a la tête, elle na pas le temps de crier ou de faire quoi que ce soit d’autre, Nora s’écroule au sol avec la tête sanglante. L’individu réagit vite et sort de son vêtement, un rouleau de ruban adhésif bâillonne et attache ses victimes. Puis les emmènent dans le salon et les installes dans le canapé, essuie le sang qui coule sur le visage de Nora. Il retourne à la cuisine et nettoie toute la cuisine. Quand il a terminé, il retourne au salon, s’assoit sur le pouf en attendant que ces victimes reprennent connaissance. Il les regarde avec une totale indifférence et un sans froid incroyable et calme qui fait peur. De longues minutes passent, le seul bruit que l’on peu entendre est la télévision qui est resté allumé. Le premier a reprendre conscience est Sylvain, effaré il ne comprend pas se qui viens de ce produire. Il a un fort mal de tête et s’aperçoit qu’il est attaché au niveau des poignés et des pieds ainsi que bâillonner. Plus il se débat plus ces liens se ressert et lui fond mal. C’est au moment où il tourne la tête vers la droite et voyant sa femme inanimée et attachée comme lui, qu’il va s’agiter le plus et tous faire pour défaire le ruban adhésif qui le bloque. Sylvain épuisé, fini par regarder en face de lui, et voit l’agresseur qui les observes en silence. Il essai de deviné le visage qui est derrière ce masque transparent et qui déforme le visage celui-ci. Mais la seule chose qu’il peu imaginer et voir c’est la blancheur de ça peau. Pendant dix minutes Sylvain passe de la colère au découragement, l’individu reste impassible et silencieux ce qui angoisse de plus en plus Sylvain. Beaucoup de questions tournent dans sa tête. Quand Sylvain essai de nouveau de ce libérer de ces liens, cette fois l’individu ce lève et lui acène un nouveau coup poing au visage qui lui provoque une très grande douleur au niveau de l’arcade sourcilière. Qui saigne immédiatement. Puis l’individu va dans le cuisine pour trouver quelques feuilles d’essuie tous, se dirige vers Nora et nettoie le visage du sang qui a coulé. Sylvain évite de réagir de peur de prendre a nouveau des coups. Il a déjà l’arcade sourcilière ensanglantée, mais il regarde son agresseur avec de la rage dans les yeux.


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  • Enfin Nora reviens a elle groggy et affolée, et comme son mari ne comprend pas se qui c’est passer. Les larmes coulent sur ses joues, elle tourne la tête et voit Sylvain avec l’œil tous bleu et de sang sécher sur le coté du visage. Sylvain est un peu rassurer de voir Nora vivante. Elle fait un tour d’horizon et voit à son tour l’agresseur en face du canapé. Soudain l’individu se lève, regarde ses deux victimes l’un après l’autre, il met sa main dans la poche de sa veste de survêtement et sort un couteau de chasse a deux tranchants. Sylvain et Nora se regardent et comprennent qu’il va se passer une horreur et qu’ils ne vont plus se revoir, et le couple se lance un dernier regard plein de tendresse, d’amour, d’angoisse et de peur. Tous deux pense à leur petite Anna, que va-t-elle devenir ? Que va-t-il lui faire ? Est-il au courant qu’il y a une petite fille ? Tellement de questions auxquelles n’y l’un n’y l’autre ne peuvent répondre. L’individu s’approche de Sylvain et lui donne une série de coup au visage et sur le corps avec le couteau dans les mains, sous la violence des coups celui-ci tombe du canapé et perd connaissance et est laissé pour mort par son agresseur. Nora qui voit son mari tombé sous les coups de cet homme essai d’hurler de ce rapprocher pour essayer de faire quelques chose. Du coup elle prend un coup de poing qui la renvoie à sa place. L’agresseur se tourne vers elle en laissant Sylvain. Il la prend par les cheveux et l’envoi avec une extrême violence sur le sol devant la télévision. Nora, reste sur le sol terrifier et se demande ce qu’il va lui arriver maintenant ? C’est au bout d’une heure que l’individu repart par la porte fenêtre par laquelle il est entré quelques heures plus tôt. Et disparaît rapidement dans la nuit noire. Laissant pour mort le couple dans le salon. Le lendemain matin Anna la fillette du couple, se lève et va voir dans la chambre de ses parents comme tout les week-ends, elle s’aperçoit qu’ils ne sont pas la. Alors Anna descend les escaliers en appelant son papa et sa maman. N’obtenant pas de réponse, elle regarde dans la cuisine, puis elle entend la télévision dans le salon, rentre dans la pièce. Quand la fillette, tourne la tête vers le canapé. Elle voit son père étendu sur le sol dans une marre de sang, ne comprenant pas se qui se passe le petite fille se met a hurler de toutes ses forces. Elle rejoint son papa et le secoue comme pour le réveiller. Mais, pas de réaction de son père, en tourne la tête, Anna voit sa maman étendu sur le sol devant le canapé à moitié nue et couverte de sang aussi. De nouveau elle se met à hurler, se relève va a la porte sort de la maison et se met a marché dans la rue en état de choc.


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  • La voisine qui a entendu les hurlements et qui voit la gamine déambuler en pyjama dans la rue, la rejoint avec un manteau. Elle lui met le vêtement sur le dos et l’a conduit chez elle. Comprenant que quelques choses de dramatiques cet produit, en entrant dans la maison maria appel son mari et lui explique rapidement se qui vient de ce passer qu’elle vient de trouver la petite dans la rue. Lui demande d’aller voir, chez les voisins, pour savoir pourquoi la fillette est dans un tel état. Pierre qui adore les enfants, connaissant Anna, ne comprend pas le comportement de la petite, met un blouson pour voir se qui se passe. Il arrive devant la porte restée ouverte par la fillette, frappe, appel, avant de se décider a entré dans la maison. La télévision qui a fonctionné toute la nuit fonctionne encore cela attire l’attention de pierre, il rentre directement dans le salon ou il est souvent venu voir la famille. Des que son regard se pose dans la direction de la télé il voit le corps de Sylvain, il se précipite auprès de lui et lui prend le pou malgré la marre de sang il respire encore. Quand il tourne la tête en direction du canapé il voit le corps de Nora, cette vision est une horreur il y a du sang partout sur le canapé, sur le sol et sur le téléviseur. On peu voir les plaît d’où a giclé le sang de la victime elle est nue avec les vêtements déchirés. Pierre, voit une tel horreur pour la première fois il est pris d’un malaise et manque de s’évanouir, alors il sort du salon, de la maison, arriver dehors il se met à vomir sur la pelouse. Il lui faut quelques minutes pour qu’il reprenne ces esprits et se met à courir pour retourner chez lui. Il ce précipite sur le combiné de téléphone, sans donner d’explication a sa femme. Ses mains tremble et son pleine de sang, mais il arrive quand même à faire le numéro de la gendarmerie nationale. Il tombe sur un enregistrement téléphonique qui l’informe qu’il va être mis en relation avec un gendarme. Impatient, avec dans la tête l’image d’horreur qu’il vient de voir pierre raccroche et refais le numéro plusieurs fois. Après de longues minutes qui lui paraissent interminable, enfin il obtient un opérateur. Sans laissé le temps au gendarme de se présenter, il lui dit que ses voisins on été agresser, que la femme est morte et que l’homme respire très peu, mais qu’il est encore vivant. Sa femme maria qui écoute la conversation est comme figé par ce qu’elle entend. Comprenant la gravité du fais elle retourne auprès de la petite Anna. Le jeune gendarme qui na jamais été confronté a de tel nouvelle, demande un instant, met pierre en attente et va voir un de ces supérieurs affolé, il explique qu’une personne est en train de lui dire qu’il y a eu une agression et qu’une des victimes est morte. L’adjudant de service viens au téléphone et reprend l’appareil, se présente et demande a pierre de bien vouloir reprendre le récit calmement qu’il vient d’expliquer a son collègue. Il prend note sur un carnet de l’adresse que lui donne son interlocuteur ainsi que l’adresse de celui-ci, et l’informe qu’ils arrivent le plus rapidement, qu’ils vont contacter les pompiers eux même. Surtout qu’il ne retourne pas dans la maison ou c’est produit le meurtre. Pierre en raccrochant le téléphone s’aperçoit qu’il a mit du sang partout sur le combiner, il va dans la cuisine et se lave les mains. Prend une éponge et va nettoyer l’appareil.


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  • La gendarmerie ce trouve à quelques rues de l’adresse donnée par pierre, quelques minutes suffisent, aux véhicules pour arriver sur le lieu de l’agression. Deux estafettes des forces de l’ordre se gare devant au 23 rue plomb, la demeure des Morel. Suivit d’un véhicule des pompiers. Les habitants du quartier surpris d’entendre et de voir t’en de gendarme dans leurs lotissement sortent et commences a ce poser beaucoup de questions, ils s’approchent de la petite maison ou les forces de l’ordre on installés un périmètre de sécurité. Rapidement l’adjudant Médart suivit de deux pompiers, rentre dans la cour et passe la porte d’entrée de la maison ouverte, puis dans le salon. La découverte que fait l’officier, le choc, il devient blanc et le bouleverse t’en, qu’il sort de la pièce. Le temps de se remettre en quelques minutes, il retourne auprès des pompiers qui s’occupent de l’homme qui baigne dans le sang. L’adjudant Médart leurs demandes de faire attention de ne pas tous bougé. Et surtout de ne pas toucher au corps de la femme qui est décéder. Pierre est devant le balisage de sécurité installé devant la maison. Et informe l’un des agents que c’est lui, qui, a découvert les victimes et a prévenus la gendarmerie. Le gendarme lui fait passer le ruban qui sert au balisage le conduit auprès du véhicule et lui demande de patienter la. Il se dirige vers la maison et entre, il revient avec son supérieur. Celui-ci le salut et lui dit de rentré chez lui directement, qu’il passera le voir des que toutes les premières constatations serai terminer. L’adjudant lui demande aussi de ne voir personne tant qu’il n’est pas passé le voir, et l’informe qu’un agent va l’accompagné pour que personne ne vienne l’importuné. Pierre retourne chez lui suivit du gendarme. Il le fait entré dans le salon ou se trouvent Maria et la petite Anna muette et frustré dans le canapé. Il propose un café au gendarme qui refuse poliment et reste a l’entré du salon. Pierre explique à sa femme la conversation qu’il vient d’avoir avec le grader. Pendant se temps les pompiers font les premiers soins a Sylvain qui est inconscient, ils l’installent sur une civière et l’évacue dans le camion, pour le conduire au centre hospitalier le plus proche. L’adjudant, après avoir noté ces premières constatations, prend son portable et appel l’équipe scientifique et le médecin légiste de la gendarmerie. Il rejoint ces agents à l’extérieur et leurs demandes de faire le nécessaire pour disperser la foule qui s’agglutine dans la rue. En attendant que la brigade scientifique arrive, l’adjudant va voir pour interroger Pierre. Demande a un de ces gendarmes de passer chez les voisins les plus proches pour les interroger. Quand l’adjudant Médart sonne la porte, c’est Pierre qui va ouvrir, et le fait entré dans le salon, ou il rentre dans le vif du sujet. Quand il est tous de suite stoppé par Pierre qui lui demande de le suivre dans la cuisine. La il explique au gendarme que la petite fille qui est dans son salon c’est l’enfant du couple qui vient d’être agresser.


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  • L’adjudant regarde pierre surpri, il avait bien vu des photos d’une petite fille dans le salon mais, il pensait, qu’elle devait être chez un parent vu qu’il a fait le tour de la demeure. Il montre son contentement de savoir la petite vivante, interrompt l’interrogatoire reprend son téléphone et contact la gendarmerie ou il demande qu’on lui envoi un médecin du SMUR ainsi qu’une assistante sociale. Puis raccroche, et se retourne vers Pierre, pour lui poser de nouvelles questions, et note toutes ces réponses ainsi que les détails. Il termine par dire à pierre qu’il serait bien que celui-ci passe le lendemain aux locaux de la gendarmerie pour faire une déposition complète. Comme c’est Maria qui a récupéré la petite Anna, le grader demande a pierre si il est possible de l’interroger aussi. Pierre va appeler sa femme et la remplace auprès de la petite Anna. L’adjudant Médart na pas le temps de terminer qu’il entend des sirènes de véhicule arrivés. Alors il informe Maria qu’elle est convoquée elle aussi pour une déposition. Il prend congé, et va au devant de l’équipe scientifique qui vient d’arriver. Les conduits sur le lieu du crime. Il explique que les pompiers ont du intervenir sur le mari qui est dans un état très grave entre la vie et la mort. D’où les traces de sang qui vont vers la porte d’entrée. Le commandant isabelle Punch responsable de l’équipe scientifique, de la gendarmerie de Toulouse. Remercie l’adjudant, et lui demande de sortir pour qu’ils puissent faire leurs travaille. Les deux collègues on commencés à prendre les photos de la victime et de tous le salon ainsi que de toutes les traces de pas, du canapé, du téléviseur, et termine par la fenêtre par ou est entré l’agresseur. Ainsi que des traces de pas qui ressortes par le même endroit et qui vont en direction du jardin. Pendant ce temps le commandant Isabelle regarde dans toutes les pièces de la maison pour essayer de trouver un indice. A l’extérieur l’adjudant va à la rencontre, du médecin du SMUR et le conduit chez les Rodrigue auprès de la petite Anna toujours prostré dans le canapé, les larmes qui coulent sur son beau petit visage d’ange. Le docteur Edouard après s’être présenté a la famille se rapproche doucement de la fillette, essai de lui parler mais surtout lui demande si il peu l’ausculter pour voir si tout va bien. Pas un son ne sort de la bouche de la gamine, alors il commence en douceur à regarder partout sur le corps pour voir s’il y a une trace de violence. Au bout de dix minutes le médecin revient dans la cuisine ou tout le monde l’attend. Il les rassure en leurs expliquant qu’elle na rien physiquement mais que mentalement, elle est pour le moment bloqué, en état de choc et surtout traumatiser.


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  • Que pour le moment personne ne peu rien faire sauf un psychiatre. Une fois que le docteur Edouard à terminer son rapport à l’adjudant, il se retire. Celui-ci propose a Maria de garder la petite Anna deux trois jours le temps qu’il puisse contacter les assistantes social et qu’elle soit pris en charge par leurs service. C’est avec plaisir que Maria accepte de la prendre chez elle. L’adjudant, se retire aussi puis retourne voir la responsable de l’équipe scientifique. Quand il arrive le commandant Isabelle Punch l’informe des premières constatations du médecin légiste. (Plus de cinquante plais sur le corps, apparemment venant d’une lame a deux tranchant comme un couteau de chasse, morte entre 22h et 22h30 avec des coups poste mortel au visage. Pour le reste il va falloir attendre la fin de l’autopsie du légiste). Il prend note de tous les détails fournis par Isabelle, sur son calepin. Et elle ajoute : (Je n’est jamais vu un tel acharnement sur une victime, alors il serait bien que notre équipe puisse avoir une place dans vos locaux pour être sur place. Ainsi que tous les effectifs, doivent être disponibles. Pour que l’on puisse essayer d’avancés plus vite. D’ailleurs je pense que nous avons affaire à un meurtrier en série. Avez-vous des nouvelles du mari de la victime ?). Le rapport terminer, elle retourne auprès de son équipe, l’adjudant lui laisse deux gendarmes sur les lieux, pour éviter que les curieux ne le soit de trop. Il prend un des véhicules et va à l’hôpital se renseigner de l’état de Sylvain. Il s’informe au secrétariat des urgences, mais la victime est toujours au bloc opératoire dans un état plus que critique. Alors il laisse un numéro de téléphone pour le contacter des qu’il serait revenu a lui. Dés son arriver a la gendarmerie, l’adjudant convoque tous les gendarmes et les informes des faits, qui, se son produit dans la petite ville. Il organise les équipes et fais libérer une salle pour l’équipe scientifique d’Isabelle. Tous s’active dans la petite gendarmerie de Louvet, qui na jamais connue une telle effervescence. Isabelle Punch s’occupe de faire enlevé le corps de Nora, accompagné du docteur Bérard direction la morgue de Toulouse pour terminer l’autopsie de la victime. Elle retourne auprès d’Eric et Franck ces collègues, pour savoir si tous les relevés ont été réalisés. Pendant qu’Eric range les affaires dans le véhicule Isabelle et Franck font le tour de toutes les fenêtres et portes pour poser les sceller. Tous trois se font conduire monte dans leurs voitures, et suivent l’estafette de gendarmerie, jusqu’au locaux. Tous s’activent pour cette enquête qui est devenue la priorité.


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  • L’adjudant Médart a fait faire une recherche, dans tous les services interne ainsi qu’auprès de la police nationale, pour savoir si une affaire similaire, c’est déjà produite sur le territoire Français. Entre temps la salle de réunion est transformé et installé pour que l’équipe scientifique puisse y installé son matériel. Des que le commandant punch entre dans les locaux elle est accompagnée a la salle ou se trouve l’adjudant. En entrant dans la salle isabelle peu voir que de nombreux ordinateurs on été disposé sur les bureaux, un grand tableau blanc est sur le mur de droite. Et sur la gauche un petit labo et tous le matériel qui va avec, prêt a être utilisé. Au centre une rangé de table ou se trouve, quelques dossiers avec les premiers procès verbaux de l’enquête poser dessus. C’est en début d’après midi qu’un rapport arrive par fax, de la police nationale, qu’une agression qui a de la ressemblance a eu lieu dans le nord de la France à Roubaix. Cet avec étonnement que Didier et Isabelle (l’adjudant et le commandant), les deux responsables de l’enquête constatent un fait identique dans deux régions opposés. Cet alors qu’ils décident de se mettre en relation avec la police nationale de Roubaix pour demander si il est possible d’avoir une copie du dossier existant. Le commandant Punch informe régulièrement le juge d’instruction Maître Barder qui est passé en fin de matinée, de l’avancement de l’enquête. Il est convenue entre les deux services que l’enquêteur qui a suivit l’affaire de Roubaix apportera le dossier lui-même et pourra participer à l’enquête de la gendarmerie de Louvet. En milieu d’après midi, les gendarmes chargé d’interroger le voisinage, rentre eu post, ils rejoignent immédiatement leurs bureaux pour mettre par écrit les renseignements recueillit. Des la rédaction des procès verbaux terminer, il les portes dans la salle de réunion. La fin de journée arrive vite, donc isabelle et son équipe prend l’adresse de l’hôtel ou des chambres ont été réservé pour eux dans la petite ville de Louvet. Le lendemain dimanche 15 mars 2010 l’adjudant Médart qui a passé une très mauvaise nuit et donc très peu dormit, se lève, s’habille et va à la gendarmerie. Il entre dit rapidement bonjours aux gendarmes qui sont de permanence de nuit, puis se dirige rapidement dans la salle de réunion. Il va préparer un café, c’est a ce moment la qu’il regarde la pendule au dessus de la cafetière, qui marque cinq heures. Il se mes a étudier le peu de documentation disponible l’on peu ressentir qu’il est très perturber par cette affaire de meurtre. Il va passer plusieurs heures a réfléchir en buvant café sur café sans comprendre le pourquoi de cette agression avec une tel violence. Soudain il est sorti de sa réflexion par des petits coups sur la porte d’entré de la salle de réunion.


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  • Un des gendarme ouvre la porte et entre suivit d’un homme, qui a la quarantaine, les cheveux cour, yeux vert et de taille assez grand, et imposant. L’adjudant comprend immédiatement qu’il s’agit de son collègue de la police nationale venant de Roubaix. Il regarde sa montre il est huit heure du matin, alors il se dirige vers eux et les saluts. Puis comme il veut prendre un café il en propose un à ses collègues. Le capitaine Mura accepte le café et remet le dossier de l’enquête a son interlocuteur pendant que celui-ci lui sert rapidement le café. Ils vont s’asseoir, à la table centrale de la pièce. Didier ouvre le dossier et ce met à la lecture de l’instruction et du rapport de l’autopsie. Au fire et a mesure qu’il avance ligne après lignes des similitudes apparaissent, c’est a se moment qu’il se lève prend le marqueur et va au tableau et commence a noté les faits suivants :

    * la date le 13 mars 2009.

    * jardin donnant sur une petite ruelle derrière.

    * entré par la porte du jardin.

    * traces de pas de taille standard 40.

    * aucun attouchement sexuel.

    Le capitaine Mura regarde avec attention ce qui est noté et lui qui connais le dossier, demande a Didier (l’adjudant), pourquoi est ce qu’il note ces faits. Celui-ci lui explique qu’ils sont identiques à ceux de l’affaire actuelle. A cet instant la porte s’ouvre, tous deux regarde dans la direction, et le commandant Isabelle Punch entre suivit de ses collègues. Didier fait les présentations et redonne les explications de ses notes. Puis fait passer les photos a chaque personne présente, de la victime lorsqu’il l’on retrouver. Didier peu voir les visages des personnes présentes se fermer et devenir blanc. Le corps est couvert de plais sur la poitrine et le ventre, du sang partout qui montre la violence des coups porter a la victime. Un long silence pesant règne dans la salle de réunion. Quand soudain il est rompu par la sonnerie de téléphone d’Isabelle, elle décroche, l’interlocuteur l’informe qu’un carton vient d’arriver pour elle de Toulouse à l’accueil. Elle demande à ce qu’on lui ramène le plus rapidement possible. Quelques secondes passes et quelqu’un frappe à la porte, Isabelle se lève et va récupérer le carton, pose celui-ci sur la table pour l’ouvrir.


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  • Des que celui-ci est ouvert elle sort les dossiers qui sont a l’intérieur et les poses sur la table. Cette fois c’est elle qui va au tableau qui prend le marqueur et tire un grand trait vertical à coté des notes de Didier. Ensuite elle met un L pour l’affaire de Louvet et un R pour l’affaire de Roubaix.

    Tous en faisant le résumer des faits de la journée du 14 mars 2010, Isabelle note ceux identique a ceux de l’adjudant. Ils s’aperçoivent rapidement que le déroulement de l’agression, le manque d’indice évoque le même mode opératoire. Pour finir Isabelle fait passé les photos prises par son équipe ce samedi. La encore on peu voir l’horreur ressentie par les personnes présente dans la salle. Pendant que tourne les photos, elle reprend et explique que la différence entre Roubaix et Louvet c’est que c’est un couple qui a été agressé. Le mari est à l’hôpital entre la vie et la mort et une petite fille qui est traumatisée et dans un état de choc tel qu’il va falloir qu’elle voie un psychiatre le plus rapidement possible.

    Et jusqu'à lundi elle est chez les voisins.

    Le capitaine Mura est surpris par l’annonce et fait la remarque :(il reste a espérer que le mari survive à ses blessures, cela va peu être nous permettre d’avoir un témoignage qui va nous faire avancé dans ces enquêtes). Isabelle le regarde et lui dit c’est ce que nous espèrerons !!!

    L’adjudant reprend la parole pour donner ses ordres pour la journée, puis se tourne vers Isabelle et le capitaine Mura. Ils leurs proposent de l’accompagné au centre hospitalier pour prendre des nouvelles de Monsieur Morel. Tous deux acceptent et se renseignent sur l’état de la fillette. Ils les informent qu’en sortant de l’hôpital ils passeront la voir chez les Rodrigue.  

    Isabelle va voir ses collègues qui se sont mis au travail dans le petit labo installé dans la salle de réunion et les préviens qu’elle s’absente et qui peuvent la joindre sur le portable puis elle rejoint l’adjudant et le capitaine a la voiture. Arriver a l’hôpital ils se dirigent vers les urgences et s’informe auprès du secrétariat  de comment va la victime qui leurs a été amener samedi matin. La secrétaire leurs demandent un instant et appel le médecin qui c’est occupé de lui. 

    Quelques minutes passent et un homme qui à une cinquantaine d’année, les cheveux poivre et sel, de petite taille et un peu rondouillard se présente a eux. Il les conduit dans une petite salle, les faits entrés. La, il commence a expliquer en détail le déroulement de l’opération, et fini par leurs dire que le patient est dans un état très grave et dans le coma que pour le moment il ne peuvent se prononcé. Qu’il faut attendre les prochaines 48 heures. Après ces explications ils demandent à voir la victime pour effectuer le relevé d’empreintes. Le médecin les accompagnes à la chambre du patient et se retire.       


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  • Rapidement isabelle effectue le relevé des empreintes et lui lave les doigts, ne pouvant pas l’interroger, ils sortent de l’hôpital et prennent la direction de (la rue plomb), pour voir la petite Anna. C’est Didier qui frappe à la porte d’entrée, Maria ouvre la porte.

    Isabelle s’excuse de les déranger un dimanche et demande si ils peuvent voir la petite Anna ainsi que Pierre son mari. Maria les faits entrer dans le salon ou Anna regarde la télévision.

    Puis elle va dans le jardin appeler pierre.

    Quand le couple entre dans le salon, isabelle est a coté de la fillette, elle essaie de lui parler. Mais aucune réponse d’Anna, qui ne quitte pas des yeux l’écran de la télévision. Maria regarde, ses yeux s’embrument de larmes et quand elle prend la parole sa voie est tremblante, les trois agents dans la pièce l’observent. Celle-ci explique que depuis qu’on lui a confié la petite Anna, la gamine reste muette ne mange pas et la nuit c’est cauchemars sur cauchemars. Qu’elle ne sait plus quoi faire, pour débloquer cette enfant et cela la rend vraiment impuissante et triste de ne pouvoir rien faire.

    Isabelle et ses collègues sont bouleverser en écoutant Maria et de voir une gamine de cet age ayant subit un tel traumatisme. Elle ce ressaisit et demande a pierre si est possible d’effectuer un relevé de ses empreintes, ainsi que celle d’Anna. Pierre lui répond qu’il n’y a pas de problème, elle commence par la petite qui reste à regarder la télévision. Le relevé d’empreinte terminer Maria lave les doigts de la petite. Puis isabelle rejoint pierre pour effectuer la même chose. 

    Le relevé d’empreinte terminer, les trois gendarmes se retire, et regagne la gendarmerie. Isabelle va rapidement à la salle de réunion et donne les empreintes à ses collègues pour les joindre aux dossiers. Mais surtout pour pouvoir comparer et éliminer plusieurs relevés effectuer dans la maison la veille. Pendant ce temps Didier prend son téléphone portable et appel Maître Barder juge d’instruction de Toulouse charger d’instruire l’enquête.

    Il l’informe que celle-ci piétine, qu’ils n’ont rien de nouveau. Maître Barder prend des nouvelles de la victime hospitaliser et de la fillette en même temps.

    La conversation terminer, il raccroche et rejoint isabelle et le capitaine Mura dans la salle de réunion. Tous vont faire un point, qui n’est pas long vu le peu d’indice réunit.

    Celle-ci fini isabelle rentre à l’hôtel, se prend une douche et essai de se détendre un peu, elle s’allonge sur le lit. Comme elle ne trouve pas le sommeil, elle s’habille et descend au bar pour se prendre un remontant en attendant le repas. Quelques minutes avant le souper elle est rejointe par ses collègues, ils prennent un verre ensemble.

    Pendant qu’ils mangent, la télévision relate le meurtre de la petite ville de Louvet, ils peuvent voir que tous les habitants sont choqués dans le reportage. Personne ne comprend le pourquoi de cette agression?


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